Parentalité MUSULMANE

Des familles racontent … (2/3)

Rempli d’anecdotes et d’exemples de vie réelle, cet article révèle des perles de la parentalité musulmane et offre des mises en situation claires et concises pour ceux et celles qui appréhendent fortement l’éducation de leur progéniture…

HINA KHAN-MUKHTAR est une maman musulmane américaine auteur et co-fondateur de l’ILM Tree Homeschooling Co-Op a Lafayette, en Californie, USA.

Elle a publié pour la première fois en 2010 un article intitulé”Raising Children with Deen and Dunya” (élever des enfants avec deen et duyitvouliyughn limù p`^bnz

aement devenu viral sur internet.

Pour le rédiger, elle a, pendant une douzaine d’années, interrogé des parents de multiples origines afin de recueillir leurs témoignages, leurs conseils, leurs astuces en matière d’éducation, en prenant soin de sélectionner des familles dont elle estimait l’éducation réussie.

Rempli d’anecdotes et d’exemples de vie réelle, cet article révèle des perles de la parentalité musulmane et offre des mises en situation claires et concises pour ceux et celles qui appréhendent fortement l’éducation de leur progéniture…

La Madrass’animée a donc trouvé utile de traduire cet article afin de le rendre accessible au plus grand nombre. Afin de ne pas rendre celui-ci trop long, nous l’avons découpé en 3 parties.

4.) Maintenir un foyer aussi sain que possible

“S’amuser n’était pas “haram” chez nous, mais nous avons fait en sorte de maintenir notre foyer  aussi sain que possible.”​

Ce serait extrêmement négligent de ma part si j’omettais de parler des enfants qui passent beaucoup de temps devant la télévision puisque chaque famille interviewée  a souligné la nécessité de sévèrement limiter l’exposition aux médias de divertissement – la télévision particulièrement mais aussi Internet et les jeux vidéo. Plusieurs familles n’avaient pas du tout de télévision chez elles, tandis que d’autres permettaient à leurs enfants de regarder les dessins animés du samedi matin pendant une heure ou bien un film en famille le soir de temps en temps. Les ordinateurs étaient toujours posés à des endroits de la maison où les échanges d’emails et la recherche Internet pouvaient se faire avec modération et sous la supervision de parents impliqués et vigilants.

« Si le Shaytan (Satan) sonnait à notre porte et demandait s’il pouvait entrer et garder nos enfants, nous le rejetterions » affirme un savant  « pourtant nous acceptons de notre plein gré la télévision…nous invitons littéralement le Shaytan lorsque nous l’allumons »

“La préservation de la fitra de mon enfant est une priorité pour nous,” déclare une mère de deux enfants en maternelle. « Désormais, la différence entre le bon et le mauvais est très claire à leurs yeux; ils comprennent immédiatement lorsqu’on leur explique les choses. Ce qui est doit être considéré comme « normal » dans l’industrie du divertissement est très flou et confus pour les adultes, alors je n’imagine même pas ce que ça doit être pour les enfants »

« Nous sommes indiens, mais nous n’avons jamais regardé de films bollywoodiens chez nous »,  avoue une amie. « Nous n’avons jamais assisté à des soirées de danse bhangra; nous ne portons pas de vêtements traditionnels comme des saris qui mettent en avant notre corps ou des robes sans manches; on ne nous autorisait pas à être trop proches avec nos cousins masculins »

En bref, elle m’a fait comprendre que les pratiques qui sont souvent excusées par l’aspect culturel n’étaient pas admises lorsque cela contredisait la sharia Islamique (la loi divine), ses parents l’ont élevée de cette manière.

Cependant, elle me rassura rapidement : “Mais n’allez pas penser qu’on s’ennuyait ou qu’on nous privait de tout!”… “Mes parents nous ont inculqué l’amour de la poésie ourdou. Le soir, nous lisions souvent de la littérature anglo-saxonne à haute voix. Nous faisions des randonnées père-fille en matinée. Ma mère nous a enseigné le jardinage et mon père nous a appris à pêcher. Mon frère était camelot; les plus jeunes étaient scouts. Nous avions une vie familiale très active”…

« Il est important de remplacer chaque chose haram dont nous éloignons nos enfants par au moins deux choses hallal qu’ils peuvent apprécier » affirme un conseiller familial musulman reconnu. “Vous ne voudriez pas que vos enfants grandissent en pensant que l’Islam représente juste une série d’interdits –  non, tu ne peux pas faire ceci ; non, tu ne peux pas faire cela. » me dit-il en rigolant « Faites en sorte que cela se résume à : Oui on peut !»

J’ai une amie Yéménite qui a pris cette théorie à cœur. Son mari et elles n’organisent pas de fêtes d’anniversaire ou pour le réveillon, mais vous devriez vraiment voir tout ce qu’ils organisent en parallèle.

Quand ses jumeaux ont mémorisé le trentième juz, ils ont fait un énorme pique-nique dans un parc avec deux grands gâteaux et des petits cadeaux pour les invités. Lorsque les jumeaux ont ensuite appris le vingt-neuvième juz, ils sont rentrés de l’école et ont trouvé leurs chambres ornées de banderoles et de cadeaux.

Mon fils de cinq ans Raahim et ses copains en maternelle ont récemment mémorisé douze sourates grâce à l’aide de sa tante. Cette dernière n’a pas tardé à organiser une grosse fête avec la totale : pinata,  récompenses, des ballons et des cadeaux.

Avec de tels souvenirs, ces petits musulmans, une fois adultes, se remémoreront forcément leur enfance de manière positive insha’Allah : une période remplie de célébrations.

« Il y a tellement fitna dans ce bas monde. Nous ne pouvons totalement préserver nos enfants du mal » avertit un grand-père dévoué de dix enfants “C’est la raison pour laquelle le foyer doit être un lieu de rappels et d’obéissance à Allah, un endroit où les enfants peuvent se détendre et se sentir aimés, où ils peuvent pratiquer leur religion sans se sentir « désolé » ou « étrange ». L’environnement familial doit être aussi « halal » que possible. Nous devons toujours nous remettre en question en se demandant toujours : « Aurions-nous honte si le Prophète (sws) entrait chez nous? Y a-t-il des choses nous voudrions lui cacher ?”

La réponse pour cette famille se résumait à une maison propre, bien rangée, simplement meublée,  dépourvue de télévision, des livres bien rangés sur les étagères. Les fleurs s’épanouissaient au bord de chaque fenêtre, la calligraphie Islamique complexe décorait les murs, de la nourriture saine était servie avec générosité et enthousiasme à tous ceux qui y pénétraient. On pouvait réellement y ressentir la sérénité.

Je n’oublierai jamais ce que la fille d’un ainé respecté dans la communauté m’a répondu lorsque je lui ai demandé comment ses frères et sœurs ont réussi à rester si proches de leurs parents bien qu’ils aient été élevés dans une ville contenant si peu de musulmans. Se sont-ils déjà rebellés? Comment ont-ils résisté à cette ambiance non islamique qui régnait autour d’eux? La réponse était simplement : 

“Si vous ressentez de l’amour dans votre foyer, vous ne le chercherez nulle part ailleurs …”

5.) Nos parents se comportaient comme ils souhaitaient que nous nous comportions.

Nos parents n’ont pas juste “parlé pour parler”, ils “sont passés à l’action”.

Autrement dit, ils ont pratiqué ce qu’ils ont prêché.

“Je ne comprends pas quand j’entends des mères dire à leurs enfants de ne pas dire de mensonges puis dire à leurs interlocuteurs au téléphone ‘Non, il n’est pas là ‘ en parlant de leur mari alors qu’il est assis juste à côté” déclare un résident de la faculté de médecine qui apprend également le fiqh hanafite. “Ou bien quand les parents enseignent à leurs enfants à quel point c’est mal de médire et puis vont ensuite se plaindre de leurs beaux-parents auprès de ceux qui voudront bien les écouter. Ça me dépasse!”

Pour ne pas tomber dans l’hypocrisie, il affirme que ses parents lui ont enseigné ainsi qu’à ses frères et sœurs l’importance de la prière et en faisant en sorte qu’ils ne la ratent jamais, quitte à ce qu’elle soit accomplie en plein Disneyland. “Notre père nous a appris qu’il y avait un temps pour s’amuser et jouer mais que cela ne devait jamais se faire au détriment de nos  obligations envers Allah. Et comme il était toujours le premier à entamer sa prière, nous le suivions naturellement »

Une autre mère expérimentée m’a donné le conseil suivant : « Vous pouvez enseigner à vos enfants les règles de la prière autant que vous voulez, mais si vous ne priez pas vous-même, ils ne prieront pas non plus. Les enfants apprennent suivant les actes de leurs parents, et pas seulement suivant leurs paroles »

« Enseigner la prière à vos enfants ne suffit pas ! » réagit une autre mère qui a été élevée en tant que juive mais qui est désormais musulmane. « Qu’en est-il de votre prière? Etes-vous concentré quand vous l’accomplissez? Est-ce que vous vous sentez mal lorsque vous en manquez une? Ces aspects de la prière sont tout aussi importants que son apprentissage.”

Un jour, j’étais en train de travailler avec une amie convertie afro-américaine quand ce fut l’heure de prier le Maghrib. J’étais occupée à mes tâches, mais je me suis arrêtée en disant « Bon, je ferais mieux d’aller prier, comme ça je serai débarrassée». Elle leva les yeux vers moi d’un air surpris puis se mit à rire. « Chez nous, on dit plutôt qu’on sera apaisé, et non pas débarrassé »

SubhanAllah, quelle grande différence un seul mot peut apporter! Quelle différence dans nos attitudes!

“J’étais assise dans ma pièce en train de réciter les invocations du matin pendant que les enfants terminaient leur projet d’art dans le salon” me racontait une amie égyptienne l’autre jour. “Je me suis soudain rendue compte que je récite toujours mes invocations en privé, je les ai donc rejoints. Ils continuaient à peindre pendant que je reprenais mon dikr. Il est nécessaire qu’ils m’entendent réciter…ils doivent me voir le faire avec joie.”

L’autre jour, un de mes fils était frustré en cherchant un crayon sur le bureau. Il éparpillait les papiers qui se trouvaient dessus, claquait les tiroirs en râlant. J’ai commencé à lui donner une leçon de morale sur les mérites de la patience tout en me rendant compte que je m’étais comportée de la même façon en cherchant mes clés quelques jours plus tôt. Les enfants sont comme des éponges; ils s’absorbent tout ce qui les entoure. « Ils reproduisent ce qu’ils observent » avertit un professeur.

“Les enfants ont besoin de voir que l’Islam « fonctionne » dans notre foyer “

“Les enfants ont besoin de voir que l’Islam « fonctionne » dans notre foyer,” déclare un autre savant “l’islam ne se résume pas seulement à la prière, au jeûne et à l’aumône. C’est une  attitude et un comportement qui doivent s’imprégner dans nos affaires quotidiennes. Les parents se respectent-ils ? Comment réagissent-ils face aux aléas de la vie ? Ont-ils le sens de la responsabilité? Les enfants apprennent constamment de leurs parents, même quand ces derniers pensent ne rien leur apprendre”

6.) Nous assumions nos choix, quitte à passer pour les méchants

Je connais plus d’une mère qui se sent mal à l’aise à l’idée de demander à son enfant de prier ou de s’habiller plus modestement, pensant que ce dernier lui en voudra d’attendre des choses de lui. Je connais deux ou trois pères qui ont fermé les yeux sur certains comportements immoraux observés chez leurs adolescents, ne les reprenant jamais, puis dire à leur femme d’un air exaspéré, « Je ne veux pas juger nos enfants. C’est un âge difficile » ?

Les adultes à qui j’ai demandé des conseils n’avaient aucun scrupule à bousculer leurs enfants de temps à autres.

“Il y avait des moments où je savais que je ne devais pas aller à tel endroit ou sortir avec telle personne, mais je demandais à maman quand même, car je voulais qu’elle m’exprime son refus…et elle le faisait toujours,” se souvient mon frère. “Les enfants aiment bien que leurs parents mettent des limites et soient des symboles d’autorité, même s’ils ne l’admettront jamais.”

“J’apprécie la compagnie de mes enfants; nous rions ensemble, nous lisons les mêmes livres, nous partageons même nos vêtements” raconte en rigolant une mère de deux adolescentes “Mais au final, elles n’oublient jamais que je suis leur mère. Même si je suis assez complice avec elles, elles savent qu’elles ne doivent pas se comporter avec moi comme elles se comportent avec leur amie ».

« La faiblesse laissera place au mépris pour ceux qui relâchent leur position d’autorité » soutient une mère de deux enfants. “Il est important de savoir qui est le patron.”

Un père de quatre anciens majors de promotion repense à sa jeunesse en riant “Cela ne dérangeait pas ma mère de «jouer les trouble fêtes »  quand nous étions au lycée. Elle était toujours prête à intervenir si elle nous voyait faire des choses qui ne lui plaisaient pas!”

D’autres parents ont insisté sur l’importance d’avoir des attentes vis-à-vis de leurs enfants. “Nous devons, petit à petit, pousser nos enfants hors de leur zone de confort,” affirme un père Afghan. “Si vous attendez plus d’eux,  vous serez agréablement surpris mais pour cela, il est important de leur communiquer vos attentes»

Une mère célibataire que je connais a toujours pensé que ses enfants finiraient par prier juste en s’apercevant que la prière représentait une priorité pour elle. Lorsqu’un jour, un ami lui a demandé pourquoi sa fille ne se joignait pas aux autres filles pour la prière, cette maman a réalisé qu’elle n’avait jamais communiqué ses attentes à sa propre fille. “Il suffisait juste de lui en parler!” s’exclama-t-elle avec surprise. « Ma chérie, tu une grande fille maintenant, tu dois intégrer la prière à ta routine quotidienne » Elle m’avait écoutée avec beaucoup d’attention! Du coup, quand l’heure du Asr est arrivé, elle s’est pressée d’aller chercher son tapis, son chapelet et de me rejoindre pour la prière. C’est désormais elle qui me réveille pour la prière du Fajr. C’est comme si pendant tout ce temps, elle attendait tout simplement que je lui dise : « Voilà ce que j’attends de toi! ».

La plupart de ces parents ont mis de côté la bonne vieille méthode du châtiment corporel. “Nous ne frappons pas nos enfants,” déclarent catégoriquement la plupart d’entre eux.

“Disons qu’on n’écarte pas l’option d’une bonne petite fessée de temps en temps,” argumente une mère de quatre étudiants à l’université. “Quand ma fille avait quatre ans, elle est sortie en courant  sans sa culotte, ce qu’elle avait déjà fait plusieurs fois. Il était devenu trop dangereux de la laisser continuer à agir ainsi, je lui ai donc mis une fessée. Elle a compris le  message et l’a bien intégré…Je n’ai d’ailleurs jamais eu à lui redonner de fessée depuis”

Durant les générations antérieures, frapper ses enfants pour des bêtises de base était devenu une méthode de discipline acceptable. Mais les parents avec qui j’en ai discuté sont catégoriquement contre lever la main sur leurs enfants. “A chaque fois que vous frappez vos enfants, vous ressentez le besoin d’y aller de plus en plus fort” m’a affirmé un analyste financier. “Je connaissais une mère qui avait l’habitude de tordre les oreilles de ses enfants. Au bout d’un moment, cela n’avait plus aucun effet sur eux, elle a donc commencé à les taper sur les mains. Puis lorsque cela ne marchait plus, elle était devenue si frustrée qu’elle s’est mis à les frapper sur les fesses et à les secouer très fort. C’est à se demander jusqu’où cela peut aller.”

Hier, j’ai passé une bonne partie de l’après-midi à faire des muffins à la banane. J’en ai donné un à mon fils et l’ai envoyé mangé son encas sur la terrasse arrière. Puis tout en l’observant par la fenêtre de la cuisine, je me suis aperçue qu’il était  en train de découper le muffin en grands morceaux et d’en mettre partout sur le sol. Je me suis précipitée vers lui en regardant les miettes sur la terrasse que j’avais nettoyée le matin même. J’ai hurlé : « Mais qu’est-ce que tu es en train de faire ? »

Il m’a regardé avec surprise.

“Qu’est-ce que tu es en train de faire?!”

“J’essaie de tuer l’araignée, elle me dérange.”

J’ai serré mes poings et je lui ai chuchoté les dents serrés : « Tu ferais mieux de t’éloigner de moi ! Je suis très énervée, je t’assure que je vais te mettre une fessée si tu restes là. J’ai besoin de me calmer, donc tu as plutôt intérêt à te sauver.”

Il m’a fait des gros yeux avant de se sauver!

Je suis si reconnaissante qu’Allah Subhana wa Ta’ala m’ait permis de me calmer dans ce moment de la colère. Au final, les miettes ont été facilement balayées, il restait encore plein de muffins, mon fils a retenu la leçon concernant le gaspillage de la nourriture (ainsi que sur le fait de tuer des araignées innocentes dans leur habitat naturel) et puis j’ai fini par rire de sa manière de faire face aux arachnides…mais seulement après une heure. Libérer ma frustration en le frappant aurait sûrement marché sur le moment, mais cela aurait eu des conséquences négatives et durables …pour tous les deux.

Traduit de l’anglais pas Yasmina Mehdaoui

2 Commentaires

  1. ummimarwani

    As salamu 3alaykum wa rahmatuLLAHi

    Cette partie est enrichissante : plus on lit plus on en veut encore mashaa llah

    Par contre la question “et si le prophète Mohammed rassoul Allah frappait à la porte …” fait reflechir Serions nous prêt à l’accueillir convenablement Aurions nous honte? … Cette question met beaucoup la pression !!!

    Et on prend une claque aussi sur le fait de dire aux enfants de ne pas mentir ni de dire de vilaines choses sur untel en son absence alors que 2 min apres on va au téléphone médire ou dire un mensonge Cest vrai que les enfants ont du mal à comprendre après ce qu’il faut faire

    merci ça fait du bien de lire d’autres témoignages de temps en temps On se sent moins seuls surtout

    Réponse
    • Madrass'Animée

      Wa alaykoum assalam wa rahmatuLLahi wa barakatuh!

      OUi ,si on garde cet exemple en tête et qu’on fasse comme si il pouvait venir nous visiter à tous moment (paix e salut sur lui), nul doute que nos foyers seraient plus réformés, wallahou allam.

      Qu’ALLAH preserve tes enfants!

      Réponse

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